COMMUNICATION
Document n°4
: Sentiments
Coordonnées
Lambert IGN1/25000 242,42-889,50 alt.400
La suite de ce
texte n'a pas pour objet de définir où de classer
ce qui se rapporte de près où de loin aux paysages
mais d'y pénétrer pour ne plus en sortir.
La disposition d'un labyrinthe dans lequel je peux déambuler,
influe sur mes possibilités de réflexions, et secondairement
sur la mémorisation morphologique des formes physiques
qui m'entourent ; en effet pour le simple utilisateur que je pourrais
être, je n'aurais en principe pas à m'embarrasser
de considérations de tridimensionnalité des corps,
cette préoccupation semble il est vrai abandonnée
aux professionnels. C'est donc maintenant certes avec une vision
semblable, que nous cheminerons aux travers de nos démarches,
et de nos réflexions sur notre propre perception de ce
qui constitue notre entourage, avec cependant la volonté
d'extraire de notre percevoir une valeur qualitative, pour une
utilisation qui se devra d'être une matérialisation.
La nécessité de modifier le percevoir sera peut
être ressentie. Dès lors c'est ici que l'erreur devrait
être corrigée, l'erreur on n'en parle pas par ce
que dans le milieu physique il y a des professionnels, et qu'ils
sont là pour les résoudre.
Pourtant une perception
de l'autre introduit en moi une notion ;venant de la matérialisation
des actions résultantes de mon comportement subjectif fournissant
la matière à modifier l'espace ;qui est pour l'autre
ce sentiment d'erreur qu'est un vécu à percevoir.
C'est ici que la" politique" nous prêtera un compromis
pour peut être se charger de se qui n'est pas l'erreur de
vision divergeant mais peut être une forme de liberté
sans aucun doute conditionnelle ; compromis qui apportera les
éléments à percevoir.